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We are here for you. If you have any question please contact usSearch
Please insert a search term in the input field. If you have any question please contact usAppelé à l’origine N-arachidonoylethanolamine, l’anandamide (AEA) a été baptisé d’après « ananda », un mot sanskrit signifiant « joie, béatitude ou bonheur ». Nous allons vous expliquer ce qu’est l’AEA, ce qu’il fait et comment encourager votre corps à en produire davantage.
Sommaire :
Avant de démêler la science entourant l’anandamide, il est utile de prendre un peu de recul et d’expliquer le rôle du système endocannabinoïde (SEC). Le SEC fait partie intégrante de la manière dont l’anandamide exerce son influence bénéfique.
Notre système endocannabinoïde comprend un vaste réseau de récepteurs CB1 et CB2. Ces récepteurs sont incroyablement sophistiqués pour deux raisons. Premièrement, ils sont situés dans tout notre cerveau et notre corps et, deuxièmement, ils sont principalement déclenchés par la présence de composés chimiques appelés cannabinoïdes. Une fois activés, ces récepteurs catalysent divers changements biologiques. Les chercheurs pensent qu’en documentant de manière exhaustive ces interactions, nous pourrons peut-être utiliser les cannabinoïdes pour améliorer notre bien-être.
Tout cela semble bien beau, mais vous vous demandez peut-être pourquoi notre corps réagit à la présence de cannabinoïdes, des composés externes que l’on trouve dans des plantes comme le chanvre ? Eh bien, c’est ici que l’anandamide entre en jeu. L’AEA est l’un des nombreux endo-cannabinoïdes (« endo » signifiant « interne » ou « dans »). Chimiquement, ces endocannabinoïdes sont remarquablement similaires aux cannabinoïdes d’origine végétale. Ce n’est pas que notre corps ait évolué pour accepter des cannabinoïdes comme le CBD — c’est qu’il en avait déjà en stock !
Une fois que les scientifiques ont réalisé leur erreur, ils ont commencé à chercher à comprendre l’anandamide et son rôle dans les fonctions quotidiennes.
Ils ont rapidement découvert que ce neurochimique joue un rôle varié dans plusieurs fonctions corporelles en interagissant avec les récepteurs CB1 et CB2 dans le système nerveux central et le système nerveux périphérique, respectivement.
L’AEA modulerait des fonctions comme la mémoire, la fertilité, l’appétit, les habitudes de sommeil, la douleur et, comme son nom l’indique, la motivation et le plaisir. Malheureusement, il est difficile de détailler exactement ce que fait l’anandamide, car les recherches sur le sujet sont limitées. Plusieurs études sur des modèles animaux suggèrent des mécanismes d’action potentiels, mais des travaux supplémentaires sont nécessaires pour comprendre comment ces résultats se traduisent dans le comportement humain.
Ceci dit, nous savons que l’anandamide existe, nous savons qu’elle interagit avec les récepteurs CB et nous savons que ces récepteurs influencent les fonctions corporelles. Il s’agit simplement de définir les attributs spécifiques de l’AEA.
Le cerveau est responsable de la synthèse de l’anandamide et surveille de près la quantité qu’il crée. C’est la principale raison pour laquelle l’étude de l’AEA est si difficile — il ne reste pas longtemps, car notre corps garde régule de près ses taux. Toutefois, la bonne nouvelle c’est qu’il existe plusieurs méthodes externes de modulation de l’AEA comme le régime alimentaire, l’exercice physique e, comme nous le verrons bientôt, la consommation de CBD.
Si vous souhaitez maximiser les potentiels avantages bien-être de l’AEA, vous n’êtes pas seul. Étant donné les liens entre cette molécule et notre réponse au plaisir et à la récompense, de nombreuses personnes (y compris les scientifiques[1]) souhaitent comprendre comment des taux plus élevés d’AEA pourraient avoir un impact sur la motivation, la dépendance, l’anxiété et plusieurs autres pathologies du cerveau.
Vous avez maintenant une excuse pour vous faire plaisir avec le chocolat. Le chocolat, qui contient de la théobromine, inciterait le cerveau à produire davantage d’anandamide. La théobromine pourrait également ralentir la dégradation de l’anandamide, ce qui présente des avantages sur plusieurs fronts. Pour obtenir de meilleurs résultats, préférez le chocolat noir au lait ; plus vous vous rapprochez du cacao[2] pur, mieux c’est.
Si vous n’êtes pas un fan de chocolat, le deuxième substitut le plus approprié est la truffe. Utilisées par de prestigieux chefs du monde entier, les truffes[3] noires sont un mets très recherché. Si vous pouvez vous les offrir, les truffes contiennent beaucoup d’anandamide. Heureusement, il existe des alternatives moins chères à l’anandamide comme le thé, le persil et le céleri.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les athlètes parlent « d’euphorie du coureur » ? Eh bien, vous pouvez remercier notre ami l’anandamide pour cela. Une étude publiée par le Journal of Experimental Biology[4] a révélé que faire du sport encourageait la production d’endocannabinoïdes. Après seulement trente minutes de course, les humains et les chiens connaissent une augmentation des taux d’AEA.
Malheureusement, la marche n’est pas aussi efficace. Pour obtenir les meilleurs résultats, concentrez-vous sur les activités d’aérobic et de cardio.
Après toute cette discussion sur les cannabinoïdes, les endocannabinoïdes et le système endocannabinoïde, nous devons bien sûr parler du rôle du CBD dans les taux d’anandamide. Fait encourageant, on pense que le CBD augmente les niveaux naturels d’anandamide, mais pas directement. À la place, le CBD inhibe l’enzyme FAAH, une molécule qui dégrade l’AEA en d’autres composés.
En perturbant ce processus, les taux naturels d’anandamide sont non seulement plus élevés, mais l’endocannabinoïde reste en place plus longtemps. Il y a encore beaucoup à apprendre sur les implications de cette interaction unique. Néanmoins, les chercheurs espèrent qu’elle pourrait devenir une stratégie prometteuse[5] pour divers troubles de l’humeur et du mouvement à l’avenir.
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[1] Scherma, M., Masia, P., & Satta, V. (2019). Brain activity of anandamide: a rewarding bliss? NCBI. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6460372/ [Source]
[2] Nehlig, A. (2013). The neuroprotective effects of cocoa flavanol and its influence on cognitive performance. NCBI. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3575938/ [Source]
[3] Pacioni, G., Rapino, C., Zarivi, O., Falconi, A., Leonardi, M., Battista, N., Colafarina, S., Sergi, M., Bonfigli, A., Miranda, M., Barsacchi, D., & Maccarrone, M. (2015). Truffles contain endocannabinoid metabolic enzymes and anandamide. Phytochemistry, 110, 104–110. https://doi.org/10.1016/j.phytochem.2014.11.012 [Source]
[4] Thors, L., Belghiti, M., & Fowler, C. J. (2008). Inhibition of fatty acid amide hydrolase by kaempferol and related naturally occurring flavonoids. NCBI. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2538700/ [Source]
[5] Peres, F. F., Lima, A. C., Hallak, J. E. C., Crippa, J. A., Silva, R. H., & Abílio, V. C. (2018). Cannabidiol as a Promising Strategy to Treat and Prevent Movement Disorders? Frontiers in Pharmacology, 9. https://doi.org/10.3389/fphar.2018.00482 [Source]
[1] Scherma, M., Masia, P., & Satta, V. (2019). Brain activity of anandamide: a rewarding bliss? NCBI. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6460372/ [Source]
[2] Nehlig, A. (2013). The neuroprotective effects of cocoa flavanol and its influence on cognitive performance. NCBI. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3575938/ [Source]
[3] Pacioni, G., Rapino, C., Zarivi, O., Falconi, A., Leonardi, M., Battista, N., Colafarina, S., Sergi, M., Bonfigli, A., Miranda, M., Barsacchi, D., & Maccarrone, M. (2015). Truffles contain endocannabinoid metabolic enzymes and anandamide. Phytochemistry, 110, 104–110. https://doi.org/10.1016/j.phytochem.2014.11.012 [Source]
[4] Thors, L., Belghiti, M., & Fowler, C. J. (2008). Inhibition of fatty acid amide hydrolase by kaempferol and related naturally occurring flavonoids. NCBI. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2538700/ [Source]
[5] Peres, F. F., Lima, A. C., Hallak, J. E. C., Crippa, J. A., Silva, R. H., & Abílio, V. C. (2018). Cannabidiol as a Promising Strategy to Treat and Prevent Movement Disorders? Frontiers in Pharmacology, 9. https://doi.org/10.3389/fphar.2018.00482 [Source]